vendredi 14 décembre 2012

Du temps pour soi

Cette semaine, j’ai lu un livre. Ce n’est rien d’exceptionnel en soi, sauf que j’ai réalisé que ça faisait un petit bout que je n’avais pas lu un livre simplement pour mon propre plaisir.

La dernière fois remonte à mes vacances à Cuba, il y a un mois et demi, où j’avais lu 2 romans. Depuis notre retour, j’ai lu un paquet de livres à mes enfants, j’ai fait plusieurs lectures pour mon cours à l’université, mais je n’avais pas lu de livre juste pour mon propre plaisir. Un peu comme si, en vacances, je m’accordais le droit de lire, mais que pour le quotidien, il s’agissait d’un luxe que je ne pouvais pas me permettre.  Je parle de luxe, car de nos jours, le temps est devenu une denrée rare. Il est rationné et précieux. On a toujours l’impression d’en manquer.

Cette semaine, j’ai donc lu Deux petits pas sur le sable mouillé, écrit par Anne-Dauphine Julliand. Il s’agit du témoignage d’une mère qui apprend à vivre avec ce que la vie lui a réservé : une petite fille d’à peine deux ans à qui il ne reste pas beaucoup de temps à vivre, car elle a une maladie incurable. Je retiens plusieurs choses de ce livre : la valeur de la vie, l’importance de l’amour, et la notion du temps, qui est tellement relative.

La valeur de la vie. Vivre, quel beau privilège. Il faut célébrer la vie, peu importe ce qu’elle a réservé pour nous. Accepter la vie, comme elle se présente.

L’importance de l’amour. Entouré d’amour, on est bien plus fort. Dans ce témoignage, alors que l’on pourrait penser qu’il ne reste presque plus rien, on réalise qu’il reste l’amour. On prend également conscience que c’est ce qu’il y a de plus important dans une vie.

La notion du temps. C’est fou à quel point le temps est relatif. Et ce, à plusieurs niveaux. Par exemple, dans le livre, la mère réalise qu’à la fin de chaque jour, il lui appartient de se dire: Une journée de moins (à vivre) ou, à l’inverse, une journée de plus (de vécue).C'est une question de point de vue.

Bref, un livre à lire.

Au-delà de l’histoire, je retiens le plaisir que j’ai eu de prendre le temps de lire un livre pour moi. Juste pour moi. Juste pour mon plaisir.

Ça fait tellement de bien. Je vous encourage à le faire pour vous. 

Les vacances de Noël arrivent. Gâtez-vous!
 

dimanche 18 novembre 2012

Coup de tête

Dimanche dernier, alors que je prenais mon petit-déjeuner, mon Chéri me demande tout bonnement: "Est-ce que ça te tente d'aller aux États-Unis?
- Là, là?
- Oui.
- Ouiiii!"

J'étais vraiment excitée.

Aller aux États-Unis à partir de chez-nous, ce n'est pas très loin. Une quarantaine de minutes. Pourtant, on traverse les douanes seulement une fois par année, lors de notre voyage annuel en Floride.

Nous sommes donc partis sur un coup de tête. Un coup de tête qui nous a mené à Burlington.

Je garde de beaux souvenirs de ce dimanche improvisé. Sortir nos passeports, traverser les lignes et  se dire qu'on pourrait peut-être, avec un petit peu de folie, continuer sur l'autoroute et rouler "jusqu'à ce qu'il fasse chaud" (Oui, oui, on a déjà fait ce genre de coup de tête, mais dimanche dernier, on s'est contentés d'en parler!;-))

Un beau coup de tête qui brise la routine.

vendredi 26 octobre 2012

Mes princesses

Au retour de l'école, nous avons profité de la belle température pour faire une séance photo à l'extérieur. Nous avons eu énormément de plaisir.  J'avais envie de partager avec vous quelques clichés:








Retour de Cuba

C'est devenu une tradition depuis que ma 3e fille est née. Chaque automne, nous partons une semaine à Cuba avec Mamie.

Voici des petits moments capturés ici et là.


C'est un départ!


La piscine pour les petits.


Avec Mamie... des moments précieux!


Des lézards, il y en avait partout!


Au petit marché à Varadero.


Varadero, Cuba


Varadero, Cuba


Le cocher le plus sympathique de Cuba. Je le cite:
"Plus tu as d'argent, plus tu as de stress.
Je suis chanceux, moi,...
Je n'ai pas de stress!"


Bébé aime toujours autant le sable.


Les deux grandes ont eu la chance d'être les
bouquetières dans un mariage. Les mariés, une cubaine
et un canadien, ont demandé si les filles acceptaient d'être
bouquetières pour leur mariage. Ils ont fourni les robes.


La mer était chaude! Que c'était bon!


Sur ce, je vais aller profiter d'une belle journée d'automne québécois (ou est-ce d'été indien?). J'entends la petite qui se réveille...

À bientôt

lundi 8 octobre 2012

Mon cher papa, c'est à ton tour...

















Pour ses 70 ans, mon père voulait faire un tour de montgolfière. Année après année, il en voyait passer au dessus de sa maison. Pour ses 70 ans, c'est lui qui voulait être dans les airs. C'était à son tour.

J'ai donc contacté des amis avec qui je suis allée au secondaire. Ils sont propriétaires d'une montgolfière, La rose des vents. Je savais qu'avec eux, mes parents se sentiraient bien. Car il faut  l'avouer, faire un tour de montgolfière, ça vous sort de votre zone de confort! Alors, aussi bien le faire en compagnie  de gens avec qui on se sent en confiance.

Aujourd'hui,  c'était le grand jour. Cet après-midi, ma petite famille et moi sommes allées les voir décoller, puis nous les avons suivis en voiture. C'était particulier. Nous avons été extrêmement chanceux. Nous n'avons pas pris le chemin que nous aurions voulu prendre, car il y avait un accident. Nous avons donc fait un détour qui nous a finalement menés directement sous la montgolfière. Faut le faire! La chance du débutant. 

Ce qui était le plus spécial, c'est que la montgolfière a volé vers le rang où j'ai grandi. L'endroit où mes parents demeurent encore. Ce fut un beau cadeau pour mon père. 

Une grande partie de sa vie, du fond de son rang de campagne, il a regardé vers le ciel pour voir les montgolfières voler. Aujourd'hui, c'est à partir du ciel qu'il a pu observer le rang où il a passé toutes ces belles années.
C'était à son tour.

jeudi 27 septembre 2012

Ce que nous avons réellement

Dans la vie, je sais qu'il ne faut rien prendre pour acquis. Qu'on le veille ou non, certains aspects sont si naturels dans notre vie, tellement présents, prévisibles, que ceux-là, on se permet de les prendre pour acquis. Il le faut bien, sinon, on deviendrait tous un peu fous. Par exemple, comment pourrions-nous vivre si nous ne prenions pas les épiceries pour acquis? On accumulerait des tas de denrées à la maison en se disant "On ne sait jamais, peut-être que demain (et tout le reste de notre vie) il n'y aura plus de nourriture dans les épiceries.". Vous vous demandez sans doute où je veux en venir et vous avez bien raison.

C'est que depuis hier midi, je ne me sens pas très bien. Je suis extrêmement bouleversée par le drame qu'une ancienne collègue vit actuellement. Je ne me sens pas bien au point que c'est mon corps qui réagit: maux de coeur, fièvre légère, rêves étranges. Quand un drame touche une de nos connaissances, il y a toujours une petite partie de notre cerveau qui nous rappelle que nous  ne sommes à l'abri de rien et que tout peut arriver. C'est là que ça me fait capoter. Tout peut arriver. Tout. Peut. Arriver.

Tu peux avoir fait super attention à ton alimentation durant la grossesse. Pas de cigarette, pas d'alcool. Tu peux avoir couché ton bébé sur le dos (si ton enfant est né à partir de 2004... car  si c'était en 2000, je crois que tu devais le coucher sur le côté, faudrait vérifier, et si c'était en 1977, je crois qu'on s'en foutait à l'époque!). Tu peux avoir introduit les aliments en respectant religieusement "Le calendrier d'introduction des aliments". Tu peux avoir acheté le siège d'auto le plus sécuritaire du marché. Tu peux avoir toujours conduit prudemment. Tu peux avoir choisi la meilleure garderie pour ton trésor. Tu peux avoir tout fait, tout donné, avoir créé pour ton enfant l'univers le plus chaleureux, le plus sécurisant, le plus stimulant, le plus aimant que tu pouvais... tout peut arriver.

Je pense à mon ancienne collègue. 

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Dès que je l'avais rencontrée, elle m'avait plu. À l'époque, j'enseignais dans une classe  de 6e année très difficile. Milieu défavorisé, plusieurs cas de DPJ, plusieurs enfants avec des troubles de comportement. Bref, un groupe pas facile. Comme j'étais enceinte de ma 2e, je devais m'absenter régulièrement pour mon suivi de grossesse. Chaque fois que je m'absentais, le lendemain, j'apprenais que ça avait été l'enfer avec la suppléante. Puis, un jour, cette fille est arrivée. Dans son compte-rendu de suppléance, j'ai lu du positif. Elle ne m'écrivait pas qu'elle ne voulait plus jamais revenir dans ma classe, mais elle me parlait plutôt de ce qu'elle avait fait avec les élèves. Puis les élèves sont arrivés en classe et m'ont confirmé que ça s'était bien passé avec cette suppléante. J'en avais donc glissé un mot à la direction de mon école, qui allait finalement prendre la décision d'engager cette fille lorsque mon congé commencerait.

Fin de la parenthèse.

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Je pense à cette ancienne collègue et je me sens mal. J'ai de la difficulté à comprendre la vie. Je sais que tout peut arriver. Je sais qu'il ne faut rien prendre pour acquis, mais là, c'est juste trop.

Avant-hier matin, son enfant allait bien. Un petit garçon de deux ans en parfaite santé. Elle se rend au travail. Le petit est à la garderie. Dans l'après-midi, elle enseigne sans se douter qu'au même moment, son petit ange ne se réveillera pas  de sa sieste. Mort subite du nourrisson? Je ne sais pas. Ils ne savent pas. Sa vie venait de basculer. Il y aura dorénavant un "avant" et un "après". Plus rien ne sera jamais pareil.

Et c'est là que ça déraille dans ma tête. Je me mets à sa place. Il me semble qu'il est tout à fait normal de prendre pour acquis qu'après notre journée de travail, nous allons retrouver nos enfants en vie. Comme je l'ai dit en début de billet, il faut prendre ce fait pour acquis, sinon on deviendrait fou. On souffrirait d'anxiété comme c'est pas possible. Comment pourrait-on passer au travers nos journées en se demandant constamment si nous allons revoir nos enfants vivants? Pourtant, tout peut arriver.

Je me dis alors que la seule chose sur laquelle nous avons un peu de contrôle, c'est sur le moment présent. Être là, pour vrai. Lâcher le pilote automatique pour être réellement présente. Savourer chaque moment, aussi petit puisse-t-il paraître (la notion de "petit moment", c'est dans notre tête seulement!). Chaque minute porte en elle la possibilité de faire une différence dans notre vie. Vivre sa vie avec pleine conscience, le plus souvent possible.


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Je vous laisse sur des photos de ma journée. Ma plus jeune a commencé la pré-maternelle et c'était sa première sortie aujourd'hui.


Une balade en autobus, ça c'est chouette!


Au menu: animaux de la ferme et papillons
 



 



Un "petit moment", si on le place dans la perspective de toute une vie, mais aujourd'hui je ne l'ai pas vu ainsi. Aujourd'hui, c'était une journée très importante, car c'était celle que j'étais en train de vivre. "Hier" étant déjà passé (on n'a pu grand contrôle sur "hier") et "demain" n'étant pas là (d'ailleurs "demain" n'existe pas, demandez à Moyenne Fille), j'étais dans le moment présent.

Ce soir, je me couche en remerciant la vie d'avoir pu passer une journée de plus en compagnie de ceux que j'aime. Plus que jamais, je ressens l'importance d'être au bon endroit. L'importance d'être dans notre vie, celle que nous vivons pour nous et non pour les autres. L'importance d'être présente. Ici et maintenant. Car au fond, c'est tout ce qui compte. C'est tout ce que nous avons réellement.

samedi 15 septembre 2012

L'héritage

Tout a commencé, il y a 2 ans, lorsque j'ai lu un billet sur le blogue de Sophie Rondeau. Elle se lançait dans un projet ambitieux: celui de réunir une centaine de lettres que des parents écriraient pour leur(s) enfant(s). L'idée m'a plue immédiatement et j'avais envie de participer à ce projet. Cependant, j'ai mis un certain temps avant d'écrire ma lettre. Mon côté perfectionniste m'empêchait de passer à l'action.

J'ai finalement écrit la lettre en pensant à ce que je voulais laisser en héritage à mes filles. J'aimais l'idée que, quoiqu'il puisse arriver, mes filles auraient toujours accès à une partie de mon coeur par le biais de cette lettre. C'est à ce moment que je me suis dit que ça serait bien si elles pouvaient avoir un tel héritage de leur père également. J'ai donc dit à mon conjoint que, s'il le désirait, il pouvait écrire le post-scriptum de la lettre. Il a accepté, à mon plus grand bonheur.

Nous avons envoyé la lettre à Sophie, puis nous avons attendu. Nous ne savions pas si notre lettre allait être retenue, mais ça nous importait peu à ce moment, car nous étions déjà très heureux d'avoir pris le temps d'écrire à nos filles. L'héritage serait là, que la lettre soit publiée ou non. Bien entendu, ce fut une joie immense lorsque nous avons appris que notre lettre avait été sélectionnée. L'héritage pourrait être précieusement conservé dans notre bibliothèque.

Le 13 septembre 2012, c'était le lancement du collectif Lettre à mon enfant. Quelle magnifique soirée! Mon premier lancement. Wow!

J'étais vraiment bien entourée à cette soirée avec, à mes côtés, mon mari, X-Mom et X-Man. Je vous entends penser. Vous vous dites: "Deux grandes amies qui participent au même projet, c'est super!" Et bien ce n'est pas tout à fait comme ça que tout s'est passé. C'est bien plus magique que ça. La vérité, c'est que lorsque nous avons soumis nos lettres, X-Mom et moi, nous ne nous connaissions pas! Nous nous sommes rencontrées par après. C'est un hasard que l'on ait toutes les deux participé à ce livre. Puisque tout le monde sait que les hasards n'existent pas, voici là la preuve irréfutable que nous étions dues pour être amies, X-Mom et moi. C'était écrit d'avance!

Voici quelques photos de la soirée:


Maman à bord avec X-Mom, un super duo!


 Sophie Rondeau, que je tiens à féliciter et à remercier pour ce magnifique projet.


Avec Isabelle Maréchal, mon coup de coeur de la soirée. Tellement gentille et inspirante. On a discuté course automobile. Elle en a déjà fait (je l'admire!) et elle a déjà été signaleur, tout comme moi.



Ce fut un projet merveilleux et je peux enfin tenir cet héritage entre mes mains. En parcourant ce bouquin, je prends conscience de toute la richesse qu'il renferme, car il nous offre la porte d'entrée du coeur d'une centaine de personnes. Il s'agit d'un livre à lire. Comment pourrait-il en être autrement, puisque lorsque c'est le coeur qui parle, les autres coeurs autour se reconnaissent naturellement. Entre coeurs, ils se comprennent!

lundi 3 septembre 2012

Je n'ai même pas le goût de trouver un titre...

J'avais vraiment l'intention de vous écrire un billet ce soir. J'ai passé une journée tellement formidable que je voulais vous en parler! J'avais noté dans mon carnet  tout ce dont je voulais vous parler, mais une fois devant l'ordi, l'envie d'écrire a disparu. Pouf! Elle n'était plus là. 

Je pense à tout ce que je pourrais faire si je n'étais pas assise présentement à l'ordinateur... 





mercredi 18 juillet 2012

Les doigts dans le nez!

Avril 2012, ma meilleure amie me demande si je veux m'inscrire à une course de 5 km avec elle. J'accepte. Elle me parle alors du programme "Comment courir 10 km et 10 semaines" qu'elle vient de commencer.

Juin 2012, ma meilleure amie m'annonce qu'elle est maintenant capable de courir 10 km et  ce, je la cite, "les doigts dans le nez". Elle pense débuter l'entraînement pour le 21 km.


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À ce moment, nous avons un point en commun; moi aussi, j'ai les doigts dans le nez! Depuis avril, je suis sortie qu'une seule fois pour courir. Je n'ai même pas encore regardé le programme d'entraînement. Je réalise alors que si je veux la suivre pour la course de septembre, j'ai intérêt à retirer les doigts de mon nez le plus rapidement possible. Ce soir-là, j'ai fait imprimer le fameux programme d'entraînement en question.

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Ça fait un peu plus d'un mois que je m'entraîne. Je vous en avais d'ailleurs glissé un mot (ici). Ce soir, j'ai couru mon premier 5 km à vie. Je crois que ce qui m'a donné le plus gros de ma motivation, c'est que j'aurai 35 ans cette semaine. Courir 5 km avant mes 35 ans. L'idée me plaisait bien.

Mon temps de course? 31 minutes et 30 secondes.
Est-ce que ce fut facile? Pas vraiment. Je réalise que j'en suis encore à l'étape où je dois faire un choix:
Soit je cours 5 km, soit je mets mes doigts dans mon nez. C'est l'un ou l'autre.  Je dois choisir. Contrairement à ma meilleure amie, je ne suis pas encore rendue à l'étape  de faire les 2 en même temps. 

Un jour peut-être...

samedi 23 juin 2012

J'ai encore des amies!

Le titre me faisait rire.

N'empêche que je me suis déjà demandé si, en décidant de me couper du monde du travail, je n'allais pas par le fait même amputer ma vie sociale.

Et bien la réponse est non. En fait, je crois que ma vie sociale n'a jamais été aussi riche que présentement. Tant mieux!

Depuis l'arrivée du beau temps, nos weekends sont remplis de BBQ avec nos amis. Au plus grand plaisir de mes filles!

Le weekend dernier, 4 mamans de la pré-maternelle avons réuni nos familles le temps d'une journée. En tout, il y avait 16 enfants "et demi" (il y en a une qui est enceinte... et non, ce n'est pas moi!).  Je vous entends calculer: Ça fait une moyenne de 4 enfants par femme, mais Maman à bord en a seulement 3... hum... 

Arrêtez de calculer, je vous donne la réponse: nous sommes 3 femmes à  avoir 3 enfants et la 4e en a 7! Elle a terminé sa famille en beauté avec des jumelles:


Nous avons fini la journée en mangeant des guimauves sur le feu:



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Puis aujourd'hui, j'avais un BBQ avec les copines avec qui j'ai fait mon travail de session à l'université. Tous nos travaux étant remis, il fallait fêter ça! Nous sommes toutes allées chez l'une des filles de l'équipe. Elle habite sur une ferme. J'avais trop hâte d'aller chez elle! J'adore visiter des fermes. Mes filles aussi ont bien aimé leur journée, d'autant plus que mon amie à une petite fille également.


Je vous laisse sur des photos de notre journée:

Un si beau paysage!


Avec leur nouvelle amie.


Elle avait tant de choses à leur monter.
Une vraie bonne guide touristique!


Moyenne Fille et moi avions un peu peur de marcher derrière les vaches.




Je trouvais plus prudent de passer devant.
Moins de risque d'éclaboussures!

Prendre un verre de rosée sous les arbres,
 pendant que les enfants s'amusent tout autour,
ça n'a pas de prix!